Hein ? c'est pas mal du tout ! Franchement je l'admire ! Je l'applaudie de mes 2... enfin voila.
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Hein ? c'est pas mal du tout ! Franchement je l'admire ! Je l'applaudie de mes 2... enfin voila.
Dans le Michigan aux États-Unis, porteur d'une maladie génétique rare, Liam Hoekstra, 3 ans, peut bouger les meubles, soulever des poids et faire des
mouvements de gymnastique dignes d'athlètes.
Bien qu'il soit petit pour son âge, Liam Hoekstra est extrêmement fort. Sa capacité à déplacer des objets et à soulever son propre corps lors d'entraînements de gymnastique lui vient
d'un désordre génétique. Alors qu'il a très peu de graisse, ses muscles sont très développés et représenteraient 40% de sa masse corporelle.Pesant 13,5 kg, l'enfant a un métabolisme très
rapide qui nécessite jusqu'à six repas quotidiens. Enfant adopté, il a rapidement montré des capacités étonnantes : à cinq mois, il pouvait faire la "croix de fer" qui consiste à se
soulever sur des anneaux ; à huit mois, il parvenait à faire des tractions, et à neuf mois, montait et descendait les escaliers.Si la presse avait entendu parler de Liam, sa mère a rarement
permis aux médias de rencontrer l'enfant. "De nombreuses télévisions voulaient faire un reportage sur "Le garçon le plus fort du monde" mais elles n'étaient pas intéressées par le côté
scientifique... et je n'allais pas les laisser faire de lui un monstre.
"Il n'y a que quelques cas de personnes touchées par cette maladie. Le premier à avoir été recensé est un petit Allemand né en 2000.
Source : zigonet.com
En Chine, Mr Lin, 27 ans, est entré à l'hôpital après avoir avalé accidentellement une paire de ciseaux.
Sa femme raconte qu'il aurait ri à la plaisanterie d'un ami et les ciseaux, dont il se servait comme cure-dents, auraient alors glissé dans sa gorge.
L'homme a essayé de tousser pour les expulser mais cela n'a fait qu'empirer la situation. Conduit chez un médecin, M. Lin avait du mal à déglutir et du sang se
mêlait à sa salive. Une radiographie a été effectuée et a montré la paire de ciseaux de 9 cm de long et de 4 cm de large coincée dans son oesophage. Craignant qu'une anesthésie générale
détende les muscles de la gorge de M. Lin et permette ainsi aux ciseaux de descendre encore plus bas, les médecins ont pratiqué une anesthésie locale avant d'extraire les ciseaux grâce à des
forceps. L'opération a duré 30 minutes et l'homme ne souffre pas de séquelles importantes.
Je croyait avoir tout vu en terme de jeux débiles japonais. Mais en voici une nouvelle vidéo avec ce concours de jeune femme avec de gros seins... de très
très gros seins qui laisse rêveur.
L'animal, né à Olfus (au sud-ouest de l'Islande), a stupéfait ses propriétaires en présentant deux têtes, ou plutôt deux "visages". Pall Stefansson, un vétérinaire
local, a déclaré que les agneaux à deux têtes sont très rares, bien qu'il ait entendu parler de deux autres cas depuis qu'il exerce. L'animal a survécu la nuit après sa naissance mais les
vétérinaires ont dû l'euthanasier après avoir réalisé qu'il ne pouvait pas soulever sa tête seul.
Source : Zigonet.com
En
Angleterre, un homme fait l'objet d'une enquête après qu'il a imprudemment suivi les indications de son GPS.
Robert Jones s'est retrouvé coincé sur le bord d'une falaise à 30 mètres de haut alors qu'il cherchait à rejoindre la maison d'un de ses amis. Il a naïvement suivi l'itinéraire indiqué par son
GPS, même quand celui-ci lui a fait emprunter un chemin étroit et rocailleux. Bien que traversé d'un doute alors qu'il se mettait à grimper de plus en plus, il a continué à suivre ce chemin de
plus en plus escarpé. En heurtant une barrière, il a finalement été contraint de s'arrêter pour constater qu'il était au bord d'une falaise et qu'un mètre de plus le précipiterait dans le vide.
Il a fallu neuf heures à l'équipe de secours pour dégager son véhicule. « J'ai fait confiance à mon GPS et je crois avoir eu beaucoup de chance de ne pas être tombé dans le vide » a confié Robert
Jones.
A Rome, les puristes parlent d'hérésie mais ses promoteurs pensent que la crise économique joue en faveur de cette "pizza à bas coût" : dans quelques
semaines débarquera dans les rues de la Péninsule la première machine fabriquant des pizzas en quelques minutes et pour une poignée d'euros.
Cette machine, d'un rouge pétant, utilise des rayons infrarouges ainsi qu'une technologie mise au point par des chercheurs de l'université de Bologne pour pétrir la farine, la mélanger avec
l'eau, étaler de la sauce tomate ainsi que la garniture, avant de la cuire au four - le tout en trois minutes.
Le concepteur de cet engin baptisé "Let's Pizza", Claudio Torghele, affirme que les premiers tests effectués dans deux régions de la Péninsule ont été très concluants. "Ce n'est pas un simple
distributeur de pizza, mais en réalité une mini-pizzeria", avance-t-il.
"On peut, en outre, assister au processus de fabrication à travers la vitre, et les gosses adorent le spectacle".
Cette machine, conçue avec l'aide du géant anglo-néerlandais de l'alimentaire Unilever, a déjà été testée en Allemagne. Pour le moment, elle propose quatre garnitures de base pour la modique
somme de quatre euros.
Pour son inventeur, la "machine à pizza" devrait séduire les Européens qui, en temps de crise, cherchent à faire des économies sur le budget alimentaire.
"Si je veux me régaler d'une pizza, j'irai dans une pizzeria. Notre produit a, lui, l'avantage d'être satisfaisant (au niveau du goût), bon marché et disponible 24 heures sur 24", fait valoir
Torghele.
Les puristes rétorquent que "la" pizza italienne, qui a vu le jour au XVIIIe siècle à Naples, n'est pas un produit qui se fabrique machinalement en quelques minutes, mais un véritable art qui
demande patience et minutie.
"Cette machine est un jouet", s'étrangle Pino Morelli, de l'Association des pizzerias d'Italie, à propos de la nouvelle invention. "Elle trouvera peut-être une niche à l'étranger mais
certainement pas ici, les Italiens étant tombés tout petits dans la pizza puisque leurs 'mamas' leur en servent dès la naissance".